Citazioni estive

Il mondo secondo Feynman, in tre puntate

1) Fuori dalla scienza, lo scienziato è un cretino come tutti

2) però se va al mare e pensa, diventa un atomo provvisto di coscienza

3) mica tanto cretino, dopotutto, visto che rivendica la libertà di pensiero che nasce da una soddisfacente filosofia dell’ignoranza

Here comes Richard Feynman, one of the century’s greatest physicists,drumming up his world view:

“I believe that a scientist looking at nonscientific problems is just as dumb as the next guy – and when he talks about non scientific matter, he sounds as naive as anyone untrained in the matter. Since the question of the value of science is not a scientific subject, this talk is dedicated to proving my point – by example… But I would like not to underestimate the value of the world view which is the result of scientific effort… For instance, I stand at the seashore alone, and start to think.”
The outcome of such thinking is typical Feynman’s bongo beat verse andshould be read aloud karaoke-wise, using your favourite rapper’ssoundtrack. Ours is MC Solaar, “Prose Combat”. If you have a betterchoice, please put it in our mailbox.

“There are the rushing waves / mountains of molecules / each stupidly minding its own business / trillions apart / yet forming white surf in unison. Ages on ages / before any eyes could see / year after year / thunderously pounding the shore as now./ For whom? for what? / on a dead planet / with no life to entertainNever at rest / tortured by energy / wasted prodigiously by the sun / poured into space./ A mite makes the sea roar./ Deep in the sea / all molecules repeat / the patterns of one another / till complex new ones are formed. They make others like themselves / and a new dance starts./ Growing in size and complexity / living things / masses of atoms / DNA, protein / dancing a pattern ever more intricate.Out of the cradle / onto dry land / here it is / standing: / atoms with consciousness / matter with curiosity.Stands at the sea / wonders at wondering: I / a universe of atoms / an atom in the universe.”

Dumb but free

“It is our responsibility as scientists, knowing the great progress which comes from a satisfactory philosophy of ignorance, the great progress which is the fruit of freedom of thought, to proclaim the value of this freedom: to teach how doubt is not to be feared but welcomed and discussed; and to demand this freedom as our duty to all coming generations.”

Richard P. Feynman, address given at the 1955 autumn meeting of the National Academy of Sciences (USA)

Un “elogio della curiosita’” di Michel Foucault

La curiosité est un vice qui a été stigmatisé tour à tour par le christianisme, par la philosophie et même par une certaine conception de la science. Curiosité, futilité. Le mot, pourtant, me plait; il me suggère tout autre chose: il évoque le “souci”; il évoque le soin qu’on prend de ce qui existe et pourrait exister; un sens aiguisé du réel mais qui ne s’immobilise jamais devant lui; une promptitude à trouver étrange et singulier ce qui nous entoure; un certain acharnement à nous défaire de nos familiarités et à regarder autrement les mêmes choses; une ardeur à saisir ce qui se passe et ce qui passe; une désinvolture à l’égard des hiérarchies traditionnelles entre l’important et l’essentiel.Je rêve d’un âge nouveau de la curiosité. On en a les moyens techniques; le désir est là; les choses à savoir sont infinies; les gens qui peuvent s’employer à ce travail existent. De quoi souffre-t-on? Du trop peu: de canaux étroits, étriqués, quasi monopolistiques, insuffisants. Il n’y a pas à adopter une attitude protectionniste, pour empêcher la “mauvaise” information d’envahir et d’étouffer la “bonne”. Il faut plutôt multiplier les chemins et les possibilités d’allées et venues. Pas de colbertisme en ce domaine! Ce qui ne veut pas dire, comme on le craint souvent, uniformisation et nivellement par le bas. Mais au contraire différenciation et simultanéité des réseaux différents… Le problème c’est de savoir comment faire jouer les différences; c’est de savoir s’il faut instaurer une zone réservée, un “parc culturel” pour les espèces fragiles des savants menacés par les grands rapaces de l’information, tandis que tout le reste de l’espace serait un vaste marché pour les produits de pacotille. Un tel partage ne me paraît pas correspondre à la réalité. Pis: n’être pas du tout souhaitable. Pour que jouent les différenciations utiles, il ne faut pas qu’il y ait de partage.

Michel Foucault, “Le philosophe masqué”, Le Monde, 6 avril 1980, entretien avec C. Delacampagne. Las des violentes polémiques que suscitait à l’époque chacune de ses interventions publiques, le philosophe avait demandé l’anonymat, d’où le titre de l’entretien.

L’aritmetica, secondo Raymond Queneau

Dans toutes les tentatives faites jusqu’à nos jours pour démontrer que 2 + 2 = 4, il n’a jamais été tenu compte de la vitesse du vent. L’addition de nombres entiers n’est en effet possible que par un temps assez calme pour que, une fois posé le premier 2, il reste en place jusqu’à ce que l’on puisse poser ensuite une petite croix, puis le second 2, puis le petit mur sur lequel on s’assoit pour réfléchir et enfin le résultat. Le vent peut ensuite souffler, deux et deux ont fait quatre.
Que le vent commence à s’élever, et voilà le premier nombre par terre. Que l’on s’obstine, il en advient de même alors du second. Quelle est alors la valeur de 2+2? Les mathématiques actuelles ne sont pas en mesure de nous répondre.
Que le vent fasse rage, alors le premier chiffre s’envole, puis la petite croix, et ainsi de suite. Mais supposons qu’il s’envole après la disparition de la petite croix, alors on pourrait être amené à écrire l’absurdité 2 = 4.
Le vent n’emporte pas seulement, il apporte aussi. L’unité, nombre particulièrement léger et qu’une brise suffit à déplacer peut ainsi retomber dans une addition où il n’a que faire, à l’insu même du calculateur. C’est ce dont avait eu l’intuition le mathématicien russe Dostoevskji losqu’il a osé déclarer qu’il avait un faible pour 2 + 2 = 5.
Les règles de la numération décimale prouvent également que les Hindous ont dû probablement se formuler plus ou moins inconsciemment notre axiome. Le zéro roule avec facilité, il est sensible au moindre souffle. Aussi n’en tient-on pas compte lorsqu’il est placé à gauche d’un nombre: 02 = 2, car le zéro fout toujours le camp avant la fin de l’opération. Il ne devient significatif qu’à droite, car alors les chiffres précédents peuvent le retenir et l’empêcher de s’envoler. Aussi a-t-on 2=2, tant que le vent ne dépasse pas quelques mètres à la seconde. Nous tirerons maintenant quelques conséquences pratiques de ces considérations; dès que l’ont craint des perturbations atmosphériques, il est bon de donner à son addition une forme aérodynamique. Il est conseillé également de l’écrire de droite à gauche et de commencer le plus près possible du bord de la feuille de papier. Si le vent fait glisser l’opération en cours on peut, presque toujours, la rattraper avant qu’elle n’atteigne la marge. On obtiendra ainsi, même avec une tempête d’équinoxe, des résultats comme celui-ci: 2+2=5

Raymond Queneau, “Quelques remarques sommaires relatives aux propriétés aérodynamiques de l’addition”, in Contes et Propos, Gallimard Points, Paris 1981.

Raymond Queneau, ancora, contando sulle dita di una mano: “Uno, due, tre, quattro, cinque, sei, sette, otto, nove, zero… E se ne avessi dimenticato uno tra il tre e il quattro?” nel film di Alain Resnais Arithmétiques

La chimica di Primo Levi

Potrei raccontare storie a non finire, di atomi di carbonio che si fanno colore o profumo nei fiori; di altri che, da alghe minute a piccoli crostacei, a pesci via via più grossi, ritornano anidride carbonica nelle acque del mare, in un perpetuo spaventoso girotondo di vita e di morte, in cui ogni divoratore è immediatamente divorato; di altri che raggiungono invece una decorosa semi-eternità nelle pagine ingiallite di qualche documento d’archivio, o nella tela di un pittore famoso; di quelli a cui toccò il privilegio di fare parte di un granello di polline, e lasciarono la loro impronta fossile nelle rocce per la nostra curiosità; di altri ancora che discesero a far parte dei misteriosi messaggeri di forma del seme umano, e parteciparono al sottile processo di scissione duplicazione e fusione da cui ognuno di noi è nato. Ne racconterò invece soltanto ancora una, la più segreta, e la racconterò con l’umiltà e il ritegno di, chi sa fin dall’inizio che il suo tema è disperato, i mezzi fievoli, e il mestiere di rivestire i fatti con parole fallimentare per sua profonda essenza. È di nuovo fra noi, in un bicchiere di latte. È inserito in una lunga catena, molto complessa, tuttavia tale che quasi tutti i suoi anelli sono accetti dal corpo umano. Viene ingoiato: e poiché ogni struttura vivente alberga una selvaggia diffidenza verso ogni apporto di altro materiale di origine vivente, la catena viene meticolosamente frantumata, ed i frantumi, uno per uno, accettati o respinti. Uno, quello che ci sta a cuore, varca la soglia intestinale ed entra nel torrente sanguigno: migra, bussa alla porta di una cellula nervosa, entra e soppianta un altro carbonio che ne faceva parte. Questa cellula appartiene ad un cervello, e questo è il mio cervello, di me che scrivo, e la cellula in questione, ed in essa l’atomo in questione, è addetta al mio scrivere, in un gigantesco minuscolo gioco che nessuno ha ancora descritto. È quella che in questo istante, fuori da un labirintico intreccio di sì e di no, fa sì che la mia mano corra in un certo cammino sulla carta, la segni di queste volute che sono segni; un doppio scatto, in su ed in giù, fra due livelli d’energia guida questa mia mano ad imprimere sulla carta questo punto: questo.

Primo Levi, “Carbonio”, in Il sistema periodico, Einaudi

Scienza
e musica

di Fabio
Romano

Nell’occidente antico, il mondo dei suoni non era il regno dell’espressione artistica ma una fonte di conoscenza del mondo e una chiave di spiegazione del funzionamento del cosmo

Da sempre la musica ha occupato un posto di grande importanza nelle culture di tutte le latitudini, e nell’antichità le furono attribuiti poteri particolari, persino magici.Subito messa in relazione con i Grandi Sistemi venne spesso correlata alle pratiche religiose, all’astronomia e alle teorie cosmogoniche. Comunque, almeno fino al1200, fu considerata soprattutto Scientia matematica acquisendo poi, al volgere del Medioevo, la connotazione a noi più familiare di Ars.
Questa rubrica intende ripercorrere le principali tappe del cammino della musica soffermandosi laddove è stato più evidente e importante il legame con l’aspetto speculativo-scientifico. Dalle sperimentazioni di Pitagora alle alchimie musicali dei Maestri fiamminghi, passando per il Barocco e per le geniali macchine musicali di Kircher, fino all’avvento della computer music e alla Musica delle Stelle di Stockhausen, cioè al recupero, nella nostra epoca, di una concezione razionalistica della dimensione sonora.

“Cerca i numeri musicali nel modo seguente. Posti due estremi, ad esempio 6 e 12, vedi di quante unità il 12 superi il 6, cioè 6 unità. Ne calcoli il quadrato: 6×6=36. Fa la somma dei due estremi: 6+12=18. Dividi 36 per 18 e hai 2. Aggiungi questo numero all’estremo minore, cioè 6, e avrai 8: questo sarà il medio (armonico) tra 6 e 12. Da ciò risulta che 8 supera il 6 di due unità, cioè d’un terzo di 6; 8 invece è superato dal 12 per 4 unità, cioè da un terzo di 12; il numero armonico dunque supera l’estremo minore con la stessa frazione con cui è superato dall’estremo maggiore.(…)”
Questa singolare regoletta, dovuta ad Isidoro di Siviglia (c.a. 560-636, ultimo Padre della chiesa occidentale) getta una luce inquietante su quello che dovette essere il rapporto degli antichi con il mondo dei suoni. Lontani anni luce dalla concezione moderna di musica come arte ed espressione, i nostri progenitori intendevano il fenomeno acustico come fonte di conoscenza universale e chiave di spiegazione del cosmo.Non a caso la musica fu nell’antichità una delle quattro scienze matematiche del Quadrivium insieme ad aritmetica, geometria e astronomia, e la pratica musicale, sebbene esistente, veniva considerata alla stregua dei più umili lavori manuali. Rilievo grandissimo avevano invece la speculazione scientifica e l’implicazione teologica, e al fascino del suono non si sottrassero filosofi e studiosi fin nella Grecia classica.
La ricerca di leggi e proporzioni matematiche da mettere in relazione all’ordine razionale del cosmo e a tutti i fenomeni a questo direttamente riconducibili, come la musica, fu un topos dell’era antica e trova radici nella dottrina di Pitagora che, per primo, individuò il collegamento tra leggi stellari e realtà sensibile. Pitagora, personaggio per molti versi leggendario, (a cui si attribuisce tra l’altro la prima scala musicale intesa in senso moderno) non lasciò alcuno scritto delle sue teorie ma il suo pensiero fu tramandato dai molti seguaci e discepoli, le cui filosofie peraltro non sempre coincisero.
Fulcro della metafisica pitagorica era, comeè noto, il numero, inteso come simbolo di”armonia” cioè unificazione di contrari (pari e dispari; limitato e illimitato). Il pitagorico Filolao così affermava: “l’armonia nasce solo coi contrari; perché l’armonia è unificazione di molti termini mescolati, e accordo di elementi discordanti”. Tenendo fermo questo principio si può estendere il concetto di armonia all’universo concepito come un tutto. Aezio dice che “Pitagora fu il primo a chiamare cosmo la sfera delle cose tutte, per l’ordine che esiste in essa”. Questo ordine che regge il cosmo è un ordine dinamico; infatti l’universo è in movimento e il moto degli astri e delle forze che li muovono si compongono in un tutto armonico. La musica, secondo Pitagora, essendo una diretta emanazione dell’ordine cosmico, ne conterrebbe in nuce i principi e le leggi.
Bisogna però chiarire subito cosa si intende per musica. Secondo Filolao i rapporti musicali esprimono nel modo più tangibile ed evidente la natura dell’armonia universale e perciò i rapporti tra i suoni, esprimibili in numeri, possono essere assunti come modello della stessa armonia universale.
La musica perciò è in fondo un concetto astratto che non coincide necessariamente con la musica nel senso corrente del termine. Musica, ovvero armonia, può essere non solo quella prodotta dal suono degli strumenti ma anche a maggior ragione lo studio teorico degli intervalli musicali o la musica prodotta dagli astri che ruotano nel cosmo secondo leggi numeriche e proporzioni armoniche.
Porfirio, filosofo del III-IV secolo d.C., affermava che Pitagora “udiva anche l’armonia del tutto come quella che comprendeva anche l’armonia universale delle sfere e degli astri che si muovono in esse, armonia che l’insufficienza della nostra natura impedisce di percepire”.Porfirio era portato ad attribuire la facoltà di udire o comunque di percepire la musica delle sfere solo a un individuo eccezionale, come poteva essere il maestro Pitagora. Aristotele, nel confutare il pitagorismo, riteneva invece che i pitagorici stessi spiegassero più razionalmente le difficoltà o impossibilità di percepire tale musica: “Risulta di qui afferma Aristotele che chi dice che dal movimento degli astri nasce armonia, in quanto dal movimento sono prodotti dei suoni e questi suoni sono consonanti, dice certamente con singolare eleganza, ma non dice il vero. C’è infatti chi crede che, movendosi corpi così grandi, ne nasce un suono, perché suono è prodotto dal movimento dei corpi che sono quaggiù, i quali pure sono meno grandi e meno veloci di quelli. Non può, dicono, non nascere un suono straordinariamente grande dal movimento del sole e della luna e degli astri, che sono tanti e tanto grandi e procedono con tanta velocità. Così essi credono, e che i rapporti delle velocità degli astri in relazione alle distanze siano i medesimi degli accordi musicali; e perciò dicono che è armonico il suono degli astri rotanti. Poi a giustificare il fatto che questo suono noi non lo udiamo, dicono che la causa sta in ciò che esso c’è sempre stato dal nostro nascere; manca per questo, dicono, ogni contrasto col silenzio, e quindi non possiamo distinguerlo ché suono e silenzio si discernono appunto perché sono in contrasto….”.
La testimonianza di Aristotele è fondamentale non solo per quanto riguarda il motivo per cui non percepiamo i suoni prodotti dagli astri, ma soprattutto per quanto riferisce circa l’analogia tra armonia dell’universo e armonia musicale: il fondamento comune è per l’appunto il numero cioè la stessa legge matematica presente nei rapporti tra gli astri e tra gli intervalli musicali.
Nella Metafisica Aristotele chiarisce ulteriormente questa dottrina pitagorica sui numeri: ” …e poiché inoltre vedevano (i pitagorici) espresse dai numeri le proprietà e i rapporti degli accordi armonici, poiché insomma ogni cosa nella natura appariva loro simile ai numeri, e i numeri apparivano primi fra tutto ciò che è nella natura, pensarono che gli elementi dei numeri fossero elementi di tutte le cose che sono, e che l’intero mondo fosse armonia e numero. E tutte le proprietà che potevano mostrare, nei numeri e negli accordi musicali, corrispondenti alle proprietà e alle parti del cielo, e in generale a tutto l’ordine cosmico, le raccoglievano e gliele adattavano. Che se qualche cosa mancava, si sforzavano di introdurla, perché la loro trattazione fosse compatta”.
Come nota con ragione Aristotele, il metodo pitagorico è induttivo più che deduttivo e il rapporto individuato tra l’armonia degli astri e quella musicale ha un valore puramente ideologico e non trova nessun fondamento in alcun tipo di osservazione empirica. Infatti il numero privilegiato che definisce il cosmo è il10 e, come è stato osservato, questo numero non ha proprio alcuna relazione con gli intervalli della scala. L’universo può definirsi come armonia e numero poiché in esso risultano armonizzati i numeri pari e dispari; nella musica vi è armonia perché anch’essa “è armonia di contrari e unificazione dei molti e accordo dei discordanti”.
La teoria della Musica delle Sfere fu trattata da numerosi autori e diede origine a molteplici divagazioni aritmosofiche, cosmologiche e astrologiche. Così ne sintetizzava il contenuto Severino Boezio (c.a. 480-526), filosofo e matematico romano a cui si deve la conoscenza e la rivalutazione nel medioevo delle teorie classiche: “La musica dell’universo (…) risulta dalla compagine degli elementi o dalla varietà delle stagioni. Infatti, il meccanismo del cielo, così veloce, come potrebbe muoversi in corsa muta e silenziosa? (…) il movimento rapidissimo di corpi tanto enormi non può avvenire senza alcun suono.(…)” E conclude: ”…Perciò non può essere estraneo a questo moto rotatorio dei cieli l’ordine razionale nella modulazione dei suoni.”
E disserta poi delle diverse velocità di rotazione dei pianeti e dell’ordine perfetto che governa il cosmo, delineando un concetto di armonia come conciliazione di diversità e di energie contrarie: ”(…) nella musica dell’universo nulla vi può essere di eccessivo da annientare le altre parti con il proprio eccesso. Al contrario, ciascuna componente, qualunque essa sia, o porta i propri frutti o aiuta le altre a portarli (…)”.

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